L'excellent Hades va bientôt avoir un concurrent venu de chez Quantic Dream, mais malheureusement, une mauvaise nouvelle le concernant vient de tomber.
En septembre 2020, Hades frappe un très grand coup dans l'industrie du jeu vidéo. C'est bien simple, la pépite de Supergiant Games est quasiment irréprochable et s'installe directement comme une référence du rogue-lite. Et logiquement, une référence inspire forcément les autres studios, qui tentent alors de récupérer la recette du succès en changeant quelques ingrédients. C'est ce qu'a fait l'un des petits protégés de Quantic Dream, désormais éditeur de titres indépendants. Il faudra en revanche patienter avant de découvrir son « Hades-like ».
Coup dur pour le concurrent d'Hades de Quantic Dream
Quantic Dream, qui édite des jeux seulement depuis 2019, comptait publier un certain Lysfanga The Time Shift Warrior cette année. Mais le développement du jeu signé Sand Door Studio a pris du retard. Lors de la Gamescom 2023, une nouvelle bande-annonce du concurrent d'Hades a été dévoilée et à la fin de celui-ci, on découvre la nouvelle période de sortie du titre, qui arrivera donc en début d'année 2024 uniquement sur PC. Rappelons que dans Lysfanga, nous incarnerons un personnage nommé Imë, qui devra sauver le monde d'Antala. Pour cela, la jeune femme pourra compter sur ses pouvoirs qui lui permettent de remonter le temps et même de ramener « les clones de son passé, les "rémanences", pour créer une armée ». Une mécanique plutôt intéressante qu'on a hâte de découvrir.
Dans le jeu, chaque arène pourra être rejouée pour que l'on tente d'améliorer notre record. Cette mécanique de scoring devrait rallonger la durée de vie du jeu pour ceux qui y sont sensibles. En tout cas, même s'il s'inspire clairement d'Hades, on peut voir que Lysfanga possède sa propre identité et une direction artistique qui devrait plaire. Espérons maintenant que la date de sortie du jeu soit rapidement communiquée par Quantic Dream. Au moins, Lysfanga évite le dernier trimestre 2023 qui est déjà complètement bouché par de grosses productions qui l'auraient probablement éclipsé. Peut-être un mal pour un bien, finalement.